Le cancer du sein est de plus en plus fréquent et représente aujourd’hui la première cause de mortalité par cancer chez la femme et toucherait une femme sur douze, selon l’Organisation Mondiale de la santé (OMS). Les causes de cette maladie ont été pratiquement ignorées et les femmes sont encouragées à se faire dépister régulièrement à partir d’un certain âge, en général 40 ans. La technologie de choix est la mammographie.
Comme préalablement discuté sur ce site, cette technologie n’est ni sécuritaire ni fiable. Elle ne peut détecter que des lésions à un stade avancé. Elle donne particulièrement lieu à beaucoup de faux positifs, c’est-à-dire, elle indique la présence de cancer là où il n’y en a pas. Dr Cécile Bour (www.cancerrose.fr) suggère que la mammographie n’a permis de sauver aucune vie. Imaginer le stress et les procédures inutiles et même nocives auxquelles ces femmes sont soumises : la biopsie, l’ablation du sein suivie de chirurgie de reconstruction sont la règle. Souvent ces femmes subissent la chimiothérapie et la radiothérapie sans aucune amélioration notable de leur santé. Une amélioration du taux de survie des femmes diagnostiquées et traitées pour cancer du sein a été notée pendant les vingt dernières années. Cet argument a été mis de l’avant pour inciter les femmes à se faire dépister par la mammographie. Cependant, certains comme Dr Bour, pensent qu’il s’agit d’une duperie liée au nombre élevé de faux positifs.
À PHI, nous utilisons une technologie sécuritaire, fiable dont l’objectif n’est pas de dépister un cancer, mais d’évaluer la santé en général et celle des seins, en particulier. Il s’agit de la thermographie, une technique d’imagerie diagnostique basée sur la technologie thermique infrarouge qui vise à détecter des différences de température à la surface de la peau. Elle peut être utilisée dans le dépistage précoce du cancer du sein.
De plus, nous utilisons l’approche de la médecine fonctionnelle pour prévenir et corriger les dysfonctionnements identifiés. Venez faire l’expérience !